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Robert Sarah : un cardinal ultraconservateur en lice pour devenir Pape

Ce que personne n’attendait : la prophétie sur Robert Sarah et l’avenir de l’Église

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LE CANADA EN DÉCRÉPITUDE

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Traître de père en fils :

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Le vrai Justin Trudeau// en hommage à un grand journaliste M. George Tremblay allias Goy George

Manipulation des chiffres sur la dette réelle du Canada

 

JUSTIN TRUDEAU EST UN MYTHOMANE

 

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Selon la mise à jour économique d'automne du gouvernement Trudeau publiée mardi, le gouvernement dépensera cette année près de 500 milliards de dollars en programmes et en intérêts sur la dette, et enregistrera un déficit de 40,0 milliards de dollars. 

D'ici 2027-2028, le gouvernement s'attend à accumuler une dette totale de 271,0 milliards de dollars de plus que prévu initialement dans son budget du printemps , poursuivant ainsi l'accumulation inconsidérée de dettes qui a contribué à définir la politique budgétaire de ce gouvernement.

Pourtant, le premier ministre Trudeau insiste sur le fait que son gouvernement a « une voie budgétaire responsable », affirmant encore une fois que le Canada a le ratio dette nette/PIB le plus bas parmi les pays du G7 (Allemagne, Italie, Japon, France, Royaume-Uni et États-Unis).

En effet, les données du Fonds monétaire international (FMI) montrent que le Canada a le ratio dette nette/PIB le plus bas une mesure qui compare la dette à la taille de l’économie nationale – du G7. L'extension de l'analyse à un ensemble plus large de 33 pays développés donne un résultat similaire, puisque la dette nette du Canada se classe au sixième rang la plus basse, à 14,6 pour cent du PIB.

Mais il y a un problème à utiliser la dette nette pour comparer notre endettement à celui d’autres pays.

Pour calculer la dette nette, vous soustrayez les actifs financiers d'un gouvernement de sa dette totale (brute), avec l'hypothèse implicite que ces actifs pourraient être utilisés pour compenser la dette. 

Mais les actifs financiers utilisés pour calculer la dette nette du Canada incluent les Régimes de rentes du Canada et du Québec (RPC et RRQ).

Les actifs du RPC et du RRQ sont nécessaires pour fournir des pensions aux retraités actuels et futurs au Canada. Par conséquent, les gouvernements canadiens ne peuvent vraisemblablement pas puiser dans ces actifs pour compenser la dette publique sans compromettre la capacité des régimes à respecter leurs obligations envers les retraités. Cela signifie que la dette nette du Canada sous-estime son endettement ​​un problème auquel d'autres pays ne sont pas confrontés .

L'actif net du RPC et du RRQ totalisait environ 699 milliards de dollars au milieu de 2023, alors que selon le FMI, la différence entre la dette brute et la dette nette du Canada sera d'environ 2,6 billions de dollars d'ici la fin de 2023, ce qui signifie que plus du quart. Une grande partie de la différence entre la dette brute et la dette nette du Canada est due au RPC et au RRQ.

Cela dit, une meilleure mesure de l'endettement du Canada, par rapport à d'autres pays, consiste à comparer la dette brute des administrations publiques au PIB. Selon le FMI , la dette brute comprend « tous les passifs qui nécessitent le paiement futur d'intérêts et/ou de capital par le débiteur au créancier ». 

Pour le Canada, un pays fédéral où les provinces disposent de pouvoirs constitutionnels importants et dépensent beaucoup, il est important d'utiliser la dette publique générale (c'est-à-dire la dette brute de tous les niveaux de gouvernement) comme mesure.

Lorsque l'on compare la dette publique brute du Canada par rapport au PIB avec celle des mêmes pays développés, le Canada tombe au 27e rang sur 33.

Il s'agit d'une baisse de 21 positions par rapport à la sixième place du Canada lorsqu'on mesure simplement la dette nette par rapport au PIB. 

À 106 pour cent du PIB, la dette brute du Canada est également plus élevée que les niveaux d'endettement de l'Allemagne et du Royaume-Uni, ce qui signifie que le Canada ne se classe pas au premier rang parmi les pays du G7.

Le gouvernement Trudeau a généralement justifié ses emprunts en faisant référence au faible niveau d'endettement du Canada par rapport aux autres pays développés. C'est trompeur et, en réalité, la dette publique du Canada est élevée par rapport à celle d'autres pays comparables.

 

 

Pesoscanada

 

 

 

Résultat : Carney premier ministre du Canada

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Gtrahison

L’élection est oligarchique

 

De nos jours, contrairement à ce que l’on pourrait croire, le système s’est renforcé. En effet, pour gagner aux élections, il faut de l’argent et être connu, donc passer dans les médias.

Mais qui détient les médias et possède suffisamment d’argent pour financer les campagnes électorales?

Seulement une poignée de milliardaires, qui soutiennent financièrement les partis et promeuvent leurs candidats dans leurs médias. Les autres, aussi compétents, intègres et visionnaires soient-ils, n’ont aucune chance.

Finalement, on est dans un système dans lequel les représentants doivent leur élection à une poignée d’individus. Logiquement, ils sont à leur service et ce n’est pas le peuple qui tient le gros bout du bâton, contrairement à ce que l’on nous répète et donc à ce que l’on pourrait croire.

La situation est telle qu’on se rend compte que les « citoyens » n’ont en fait qu’un « pouvoir », soit celui de décider tous les 4 ans de leurs maîtres. S’ils ne sont pas contents, ils doivent attendre 4 longues années pour en choisir d’autres. Mais comme ceux-ci sont tous promus par les mêmes quelques personnes, les choses changent très peu et peu à peu la population se rend compte que son vote est inutile. En résulte une abstention croissante. On se rend donc compte que loin d’être démocratique, l’élection favorise la victoire de candidats supportés par quelques individus extrêmement puissants et influents. Qui tout en restant cachés derrière les “élus”, exercent de fait le pouvoir.

Oligarchie

 

 

 

 

 

 

Notre Rêve Américain

notre rêve américain

4 Juillet 1776 La Révolution Américaine

La Révolution américaine 2: la déclaration d'indépendance (4 juillet 1776)

La révolution américaine : la liberté au prix du sang

 

 

 

On a cru jadis, explique Mathieu, que la fin du communisme marquait le triomphe définitif des valeurs libérales, au premier rang desquelles figurait la liberté d’expression.

Pourtant, des gens venus du monde soviétique  Soljenitsyne, Zinoviev, Kundera disaient voir monter en Occident un conformisme idéologique qui leur rappelait ce qu’ils avaient connu.

Évidemment, c’était un totalitarisme «soft», un «totalitarisme d’atmosphère» (dixit Nathalie Heinich): pas d’emprisonnement, pas d’exil en Sibérie, pas de torture.

Le point commun était ce souci d’imposer un périmètre idéologique bien balisé. La seule dissidence intellectuelle autorisée devait être inoffensive. 

On n’écouta pas ces lanceurs d’alerte venus de l’Est.

Jusqu’à tout récemment, on imputait ce qu’on a pris l’habitude de nommer le wokisme à des étudiants crinqués sur les campus. 

Ceux-là n’étaient que les plus visibles et les plus audibles, les canaris dans la mine.

On s’aperçoit aujourd’hui que cette rectitude s’est progressivement installée au pouvoir dans l’entreprise, la fonction publique, l’administration des universités, la majorité des médias, tant dans les directives venues du haut que dans les catégories mentales et le vocabulaire utilisés spontanément par les jeunes. 

Des exemples? Quotas d’embauche, recrutements officialisant la ségrégation (Programme d'accès à l'égalité en emploi), reprogrammation des employés sur la base du logiciel EDI (Équité-Diversité-Inclusion), écriture inclusive, banalisation de la censure, refus de la science authentique, complaisance tous azimuts vis-à-vis des minorités, etc. Résumé en un seul mot : RACISME ANTI-HOMME BLANC DE SOUCHE CANADIEN-FRANÇAIS.

Bref, cette nouvelle orthodoxie vertueuse a investi les lieux de pouvoir.

Rien ne l’illustre mieux que l’hallucinant témoignage, la semaine dernière, des présidentes de Harvard, du MIT et de l’Université de la Pennsylvanie, pour qui le jugement à porter sur un appel au génocide est une affaire de «contexte».

Bref, notre société devient une sorte de camp de rééducation, dont l’enjeu est le contrôle des esprits.

La façon d’y parvenir est celle des religions. 

Les religions qualifient d’hérétique ou d’infidèle celui qui les rejette. La nouvelle orthodoxie qualifie «d’extrême droite» le mécréant.

 

La dette du Québec

Detteduqc

Legojail
Caqclown

Parti Conservateur du Québec

Pcq
Pcqeduhaime

Gens d'Arthabaska, je me présente à vous.

Gens d'Arthabaska, je me présente.

LA CHARTE DES DROITS DE 1689

 

La Charte des droits de 1689 (en anglais : Bill of Rights 1689) est un texte imposé en 1689 aux souverains d'Angleterre (Guillaume III et Marie II) à la suite de la Glorieuse Révolution. Il définit les principes de la monarchie parlementaire en Angleterre

La Déclaration des droits de 1689 affirme que certains droits positifs doivent être détenus par les citoyens et les résidents d’un pays de monarchie constitutionnelle. Elle donne notamment au sujet le droit de s'adresser au monarque sans avoir à craindre de répression (droit de pétition, article 5), ce qui implique une certaine liberté d'expression. Elle l’autorise aussi à porter des armes pour se défendre. 

L'ACTE DE QUÉBEC DE 1774

L'Acte de Québec de 1774 avec Maître Christian Néron

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