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Le Canada en campagne électorale 2025

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Un seul choix s'impose pour la survie de nos droits et libertés et la fin du WOKISME

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Maxime Bernier: the housing crisis and immigration - La crise du logement et d'immigration

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L'INVASION MIGRATOIRE DESTRUCTRICE

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L’islam remplit-il les 7 critères qui définissent une secte ?

Les superstitions islamiques : sorcellerie, possession, mauvais œil

Que pense Allah du musulman qui est allié avec le mécréant ? (#19)

 

Israelgaza

 

LA PALESTINE CHIMÉRIQUE :

 

 

Un cours intensif sur l’histoire de l’ÉTAT PALESTINIEN :

 

1. Avant Israël, il y avait un mandat britannique, pas un État palestinien.

2. Avant le mandat britannique, il existait un Empire ottoman, pas un État palestinien.

3. Avant l’Empire ottoman, il existait un État islamique des Mamelouks d’Égypte, et non un État palestinien.

4. Avant l’État islamique des Mamelouks d’Égypte, il existait un empire arabo-kurde ayubide, et non un État palestinien.

5. Avant l’Empire ayubide, il existait le royaume franc et chrétien de Jérusalem, et non un État palestinien.

6. Avant le Royaume de Jérusalem, il y avait les empires omeyyade et fatimide, et non un État palestinien.

7. Avant les empires omeyyade et fatimide, il existait un empire byzantin, et non un État palestinien.

8. Avant l’Empire byzantin, il y avait les Sassanides, pas un État palestinien.

9. Avant l’Empire sassanide, il existait un Empire byzantin, pas un État palestinien.

10. Avant l’Empire byzantin, il existait un Empire romain, pas un État palestinien.

11. Avant l’Empire romain, il existait un État hasmonéen, et non un État palestinien.

12. Avant l’État hasmonéen, il y avait un État séleucide, pas un État palestinien.

13. Avant l’empire séleucide, il existait l’empire d’Alexandre le Grand, et non un État palestinien.

14. Avant l’empire d’Alexandre le Grand, il existait un empire perse, et non un État palestinien.

15. Avant l’Empire perse, il existait un Empire babylonien, et non un État palestinien.

16. Avant l’Empire babylonien, il existait les royaumes d’Israël et de Juda, et non un État palestinien.

17. Avant les royaumes d'Israël et de Juda, il existait le royaume d'Israël, et non un État palestinien.

18. Avant le royaume d'Israël, il existait une théocratie des douze tribus d'Israël, et non un État palestinien.

19. Avant la théocratie des douze tribus d’Israël, il existait une agglomération de cités-royaumes cananéennes indépendantes, et non un État palestinien.

20. En réalité, sur ce territoire, il y a eu de tout, SAUF UN ÉTAT PALESTINIEN.

CESSEZ DE CROIRE N’IMPORTE QUI ET N’IMPORTE QUOI.

 

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PENDANT QUE LES QUÉBÉCOIS DE SOUCHE SONT À LA RUE ...

 

ENCORE UNE INJUSTICE SOUS LE COUVERCLE DE L'INCLUSION

 

 

 

Les prix des logements ont grimpé bien au-delà des attentes dans un phénomène assez mondial sans oublier l’invasion migratoire systémique avec les politiques d’immigration de Justin Trudeau, de déclarer Montréal ville sanctuaire par Valérie Plante ainsi que le transfert de demandeurs d’asile de Montréal à Québec depuis le 23 novembre 2023 par le gouvernement Legault dont les tristes résultats ont fait exploser la demande plus grande que l’offre et accentuer une pression sur les organismes communautaires et notre système de santé et services sociaux.


 

Depuis 2021, le Québec débourse 40 millions par mois en chèque d’aide sociale aux demandeurs d’asile.


 

Depuis novembre 2023 Le gouvernement Legault lance une opération pour doubler le nombre de demandeurs d’asile reçus à Québec, afin d’alléger la pression sur la capacité d’accueil de Montréal et de répondre aux besoins de main-d’œuvre dans la capitale nationale.


Un premier autobus de nouveaux immigrés est arrivé à Québec la semaine dernière. La ministre de l’Immigration, Christine Fréchette, est allée à leur rencontre mardi, accompagnée par l’Agence QMI.  «On veut aider à enlever un peu de pression sur Montréal en amenant des demandeurs d’asile à venir s’établir en région. Donc on commence par la Ville de Québec», explique la ministre Fréchette en entrevue. 

 Le gouvernement va doubler le nombre de demandeurs d’asile à Québec

Arrivée d'un autobus de demandeurs d'asile à Québec, le mercredi 22 novembre 2023. 

 

«Et le message qu’on capte de la Ville [de Québec], c’est qu’ils veulent une immigration tous statuts confondus, à la hauteur de leur poids démographique [...]. Donc, à partir de là, on a suggéré que ça puisse être des demandeurs d’asile, entre autres.»


 

Incitatifs

Pour inciter ces gens à venir à Québec, le gouvernement leur offre également de l’accompagnement pour se trouver un emploi, et en attendant, une aide sociale d’urgence de 850$ par mois et une allocation de 230$ par semaine afin qu’ils suivent des cours de français.

Ils sont gras dur comparé à nos Québécois de souches sur l’aide sociale qui reçoivent moins de 800$ par mois comparativement à 1770$ par mois.

Et ce n’est pas tout, ces demandeurs d’asile ne mangent pas n’importe quoi comme nos itinérants de Québec, non non non car selon la directrice générale du Centre multiethnique de Québec, Natacha Battisti :

"Hélas, le centre l’a appris à ses dépens, quand la nourriture qu’il achetait «terminait à la poubelle». «Ce n’était pas avantageux financièrement, non plus sur l’intégration, parce qu’ils avaient encore faim», a raconté la directrice générale à Christine Fréchette."

"Certains aliments en particulier, comme le choux-fleur, «ne fonctionnent pas du tout». «Même le poisson, il faut vraiment le jauger [...]. On pensait que ça allait être plus facile. Mais non, c’est difficile», a ajouté Mme Battisti. "

"Mais il ne s’agit pas que d’une affaire de goût. «Ils peuvent avoir des coliques, ils ont des maux de ventre...», a-t-elle conclu."

La ministre de l'Immigration, Christine Fréchette, en compagnie de la directrice générale du Centre multiethnique de Québec, Natacha Battisti. 

 Le gouvernement va doubler le nombre de demandeurs d’asile à Québec


 

 

DEMANDEURS D'ASILE ET AIDE SOCIALE

En 2021, 12 958 demandeurs d'asile ont reçu de l'aide sociale

En 2022, 37 754 demandeurs d'asile ont reçu de l'aide sociale

Imaginez la pression sur les banques alimentaires, les organismes communautaires et les logements sociaux (HLM) qui leur sont octroyés en priorités. Ils pompent nos ressources à notre détriement et ils nous coûte près de 40 millions par MOIS.

Tout ça grâce à Justin Trudeau et Valérie Plante avec "Montréal ville sanctuaire".

Guignoles666

 

Racismeantiblanc

Le racisme anti-Blancs a tué Thomas à Crépol.

 

 

666islamogogoL'islam radicale au sein de nos institutions politique :

 

Quand Bochra Manaï a été nommée commissaire à la lutte au racisme et aux discriminations systémiques à la Ville de Montréal, Valérie Plante assurait les Montréalais qu’elle avait été sélectionnée au terme « d’un processus très rigoureux » qui était « garant de la qualité de la personne qui avait été choisie » et que cette dernière savait qu’elle servait désormais une « institution » et comprenait bien « son [nouveau] rôle ». C'est comme demander au renard de faire le décompte des poules dans le poulailler. Cette femme n'a aucune impartialité.

 

Beaucoup de Montréalais s’inquiétaient en effet du fait que la principale intéressée s’était surtout fait connaître comme porte-parole du Conseil national des musulmans canadiens et qu’à ce titre, elle avait publiquement pourfendu la loi 21 sur la laïcité de l’État et le Québec tout entier, devenu, selon elle, « une référence pour les suprémacistes et les extrémistes du monde entier ». Pouvait-on vraiment penser que quelqu’un qui tenait quelques semaines plus tôt des propos aussi provocants et aussi peu objectifs (elle était allée jusqu’à associer la loi 21 aux attentats de Québec et de Christchurch, en Nouvelle-Zélande) allait se muer instantanément, par la magie d’une nomination, en commissaire impartiale ?

 

Le nœud du problème est là. On recrute des militants politiques pour en faire des fonctionnaires censés être objectifs et impartiaux et on s’étonne ensuite qu’ils soient demeurés avant toute chose… des militants.

La Ville de Montréal n’est évidemment pas le seul gouvernement à agir ainsi : pensez à la nomination récente d’Amira Elghawaby comme représentante spéciale du Canada dans la lutte contre l’islamophobie. Comme par hasard, elle aussi était proche du Conseil national des musulmans canadiens, pour lequel elle avait travaillé pendant cinq ans en tant que directrice des communications.

 

En la nommant à ce poste, Justin Trudeau croyait-il lui aussi qu’elle allait devenir une observatrice impartiale de l’islamophobie au pays ? Ce serait tout aussi improbable que de confier à un militant animaliste le mandat de statuer en toute objectivité sur le sort de cerfs de Longueuil !

Confier des mandats publics à des personnes qui ont consacré l’essentiel de leur carrière antérieure au service d’une cause, c’est confondre les genres. Dans une saine démocratie, il faut qu’il y ait des militants prêts à défendre des causes qui leur tiennent à coeur, même si celles-ci sont controversées et même si cela les amène parfois à dépasser les bornes et à scandaliser une part importante de l’opinion publique en tenant des propos outrés. Mais il est également nécessaire que les représentants des institutions publiques soient, quant à eux, au-dessus de tout soupçon pour ce qui est de la partisanerie.

Les experts que l’on convoque pour donner leur avis et éclairer l’action des gouvernements, les personnes que l’on invite à offrir des formations sur le racisme ou le sexisme à des fonctionnaires, les commissaires qui sont nommés pour étudier un problème et faire des recommandations doivent demeurer le plus objectifs possibles. Il y va de leur crédibilité, comme de celle des institutions au service desquelles ils oeuvrent.

Si experts, formateurs, commissaires sont choisis en fonction de leurs allégeances politiques ou communautaires, les conclusions auxquelles parviendront les premiers sont écrites à l’avance, les formations dispensées par les seconds tournent à l’endoctrinement, les jugements émis par les derniers seront systématiquement entachés de partisanerie, et l’impartialité des institutions devient une sinistre farce, entraînant à l’égard de celles-ci délégitimation et perte de confiance du public.

Comment en est-on arrivé à banaliser de telles nominations partisanes ? Pourquoi l’administration Plante a-t-elle nommé Bochra Manaï commissaire à la lutte contre le racisme ? Pour quelle raison le gouvernement Trudeau a-t-il décidé de créer le poste de représentante spéciale dans la lutte contre l’islamophobie et de le confier à Amira Elghawaby ? Alors que, dans ces deux cas, il était plutôt évident que ce n’étaient pas, comme disent les Anglais, les bonnes personnes à la bonne place.

Si on se pose la question, la réponse la plus évidente semble être celle-ci : on nomme à des postes de responsabilité des représentants (non élus) de « communautés » ethniques, religieuses, sexuelles (qui n’ont d’existence réelle que dans le discours de leurs représentants autoproclamés) dans l’espoir que les membres desdites « communautés » accordent en retour leurs voix aux responsables politiques qui auront choyé leurs supposés représentants. L’un des ressorts du prétendu multiculturalisme canadien, c’est un néoféodalisme communautaire tellement prégnant qu’il va jusqu’à dicter le choix des candidats pour les élections et, même, en partie, la politique étrangère du Canada.

Satisfaire ces différents lobbys est aussi pour nos gouvernements un moyen d’acheter la paix. Ils pensent, en intégrant certains de leurs leaders à l’appareil administratif ou en leur distribuant de généreuses subventions, désamorcer à moindre coût leurs critiques les plus virulentes. Le machiavélisme à la petite semaine des uns répond ainsi à l’entrisme des autres ; mais c’est un jeu où il y a un grand perdant : le citoyen ordinaire, qui ne se reconnaît dans aucune « communauté » et n’a donné mandat de le représenter à aucun lobby.

Loin de favoriser l’« inclusivité », ce communautarisme identitaire qui carbure au clientélisme est en train de tuer tout souci du bien commun et tout sens du service public.

 

 

Enki777

Effondrement de l’Occident (L'invasion migratoire)

 

 

Enki Bilal est l’un des meilleurs dessinateurs français ; à tel point qu’il a fini par s’exporter à l’étranger, troquant la plume pour la caméra en réalisant des films aussi atypiques que Bunker Palace Hôtel (1989) ou Tykho Moon (1996).

Au cœur de son œuvre imposante ? La perte d’humanité face à des régimes dictatoriaux ou totalitaires, tel qu’en témoignent ces deux chefs-d’œuvre du neuvième art que sont Les Phalanges de l’ordre noir (1979) ou Partie de chasse (1983)

Dans les deux cas, il dissèque d’un crayon plus qu’habile osons même le terme de virtuosité la lutte entre des oligarchies tant envahissantes que finissantes. C’est donc fort de ces indéniables lettres de noblesse que l’artiste, né à Belgrade (la capitale serbe) d’un père bosniaque musulman et d’une mère tchèque catholique mais qui ne sera pas baptisé, ses parents n’étant pas pratiquants -, parle d’or dès qu’il s’agit d’évoquer ces civilisations, fortes d’apparence, mais fragiles de nature.

« Avec l’islamisme, on est foutus »

D’ailleurs, l’Histoire, la vraie, elle aussi tragique de nature, n’en finit plus de couler dans les veines de notre artiste. Son père, Muhamed Hamo Bilal, fut l’un des proches du maréchal Tito, réflexe nationaliste oblige, mais refusa d’adhérer au Parti communiste yougoslave, autre réflexe antitotalitaire l’obligeant à émigrer en France.

Et c’est à l’occasion d’un livre par lui consacré à Shakespeare que cet homme si discret livre ces quelques réflexions recueillies par la journaliste Anna Cabana, dans La Tribune de ce dimanche.

À cette occasion, Bilal fait preuve d'une euphorie mesurée : « Je pense que l’Occident est en train de s’effondrer sur lui-même. Je suis profondément écœuré par la situation et le comportement de la majorité des politiques. » Et le même de poursuivre : « On a laissé le cheval de Troie entrer. Cela fait trente ans que j’annonce à mes copains qu’avec l’islamisme, on est foutus. »

D’où son désarroi devant le pas de deux d’Emmanuel Macron à propos de la manifestation contre l’islamisme tenue il y a peu : « Il aurait dû dire que la marche était ouverte à tout le monde ! » Au lieu de ça, des pudeurs de gazelle qu’Enki Bilal déplore aujourd’hui : « Quel manque d’intelligence !

Ça renforce Marine Le Pen, parce que les gens ne sont pas dupes. Je ne défends pas le RN. Bien sûr que Jean-Marie Le Pen était antisémite. Mais, en les ostracisant, on leur fait gagner des voix. À moins que ce ne soit fait exprès… »

Confusion entre Europe et Occident ?

Il n’empêche : le même Jean-Marie Le Pen, quels que soient tous les péchés que « celles et ceux » (paraphrasons Macron) veulent bien lui faire porter, fut l’un des hommes politiques de premier plan à s’opposer aux bombardements de l’OTAN sur la Serbie, en 1999.

Comme quoi « l’Occident » n’est pas forcément « l’Europe ». D'autant qu’en la circonstance, cet « Occident » trop souvent donné pour « chrétien » à la fois par les évangélistes américains et les islamistes orientaux ne voit aucun problème à armer une Albanie islamiste pour mieux saccager la Serbie orthodoxe. Tout comme Israël n’hésite pas à armer l’Azerbaïdjan musulman contre l’Arménie chrétienne.

Cette possible contradiction, à la fois sémantique et politique, entre « Europe » et « Occident », nous l’avons évidemment soumise au principal intéressé. Lequel nous a répondu qu’il n’avait « malheureusement » pas le temps de nous y répondre. Non sans préciser : « Ma remarque sur l’Occident est très générique, je le sais, et c’est une phrase qui est devenue titre… Elle ouvre en effet toutes vos remarques et questions sur lesquelles je suis globalement d'accord… »

Enki Bilal prouve que l’on peut avoir le pinceau sûr et la cervelle bien affûtée. Qu’il en soit ici chaleureusement remercié.

 

Le wokisme est en train de tuer le monde, dénonce Enki Bilal

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